L’OM échappe à des sanctions après les chants homophobes
Lors du Classique OM-PSG qui a eu lieu le 27 octobre, la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) a décidé de ne pas sanctionner l’Olympique de Marseille en dépit des chants homophobes enregistrés dans le stade. Bien que des supporters marseillais aient entonné des refrains polémiques, le rapport officiel n’a pas établi de preuves suffisantes et la saisine du Conseil National de l’Ethique a été jugée trop imprécise. La commission a souligné l’impossibilité de cibler les tribunes à l’origine des chants, ainsi que les efforts de prévention mis en place par le club. Alors que l’association Stop Homophobie a porté plainte, la décision de la LFP a suscité de vives réactions.
Lors du dernier Classique qui a opposé l’OM au PSG, des chants qualifiés d’homophobes ont été entendus dans les tribunes. Malgré cela, la commission de discipline de la LFP a décidé de ne pas sanctionner l’Olympique de Marseille, ne trouvant aucune preuve suffisante pour établir un rapport compromettant.
Aucune preuve établie
Le constat est clair : aucun rapport d’officiel n’a pu établir de chants jugés homophobes lors de ce match tant attendu. Les chants, bien que discutables, ont été décrits comme furtifs et la commission a estimé qu’il était impossible de localiser précisément les tribunes à l’origine de ces incitations. C’est un soulagement pour les supporters marseillais, qui redoutaient des sanctions.
Une saisine jugée imprécise
La saisine du Conseil National de l’Ethique, déposée par l’association Stop Homophobie, a été jugée imprécise par la commission. Les actions de prévention menées par le club ont également été prises en compte, ce qui a contribué à l’absence de sanction. Ce cas met en lumière les difficultés de la LFP à gérer les chants dans les stades.
Des chants controversés avant le coup d’envoi
Avant le début de la rencontre, des supporters de l’OM avaient entonné des chants provocateurs, notamment : « Il faut tuer ces pé*** de Parisiens ». Ces paroles ont évidemment attiré l’attention et incité des groupes comme le Collectif Rouge Direct à porter plainte. La tension entre les clubs est à son comble, et la question de l’homophobie dans le sport est plus que jamais d’actualité.
Réactions face à la décision de la LFP
Suite à cette décision, les groupes comme Rouge Direct ont exprimé leur indignation. Ils dénoncent ce qu’ils qualifient d’incurie totale de la LFP en matière de lutte contre l’homophobie dans les stades. Ces déclarations soulignent un besoin urgent de renforcer l’éthique et la responsabilité au sein des instances dirigeantes pour combattre ce genre de comportements.
- Pas de sanctions: L’OM n’a pas été sanctionné malgré les chants entendus.
- Chants en question: Des chants comme « Il faut tuer ces pé*** de Parisiens » ont été rapportés.
- Rapport d’officiel: Aucun rapport officiel n’a établi de chants homophobes.
- Saisine imprécise: Le Conseil National de l’Éthique a jugé la saisine très imprécise.
- Action préventive: Les actions de prévention faites par le club ont été prises en compte.
- Choc pour les assos: Stop Homophobie et Rouge Direct ont exprimé leur indignation face à la décision.
- Concernant la Ligue: La LFP a été critiquée pour son manque de répression contre l’homophobie.
Témoignages sur l’OM échappant à des sanctions
Alors que le Classique opposant l’OM au PSG faisait vibrer le Vélodrome, la commission de discipline de la LFP a décidé que pas de sanction ne serait infligée à l’Olympique de Marseille. Cela a fait réagir plus d’un supporter, qui ne s’attendait pas à une telle nouvelle !
Un fervent supporter marseillais a commenté : « C’est incroyable ! Je pensais qu’on allait encore faire face à des sanctions pour des chants à la limite. Mais apparemment, la commission a trouvé que les cris de guerre de nos fans étaient… comment dire, moins problématiques que prévu ! » Un soupçon d’ironie dans ses propos, en somme !
De l’autre côté, un fan parisien a exprimé sa frustration : « On peut chanter ce qu’on veut, mais apparemment, ça ne les dérange pas de leur côté. Si ça avait été nous, je suis sûr qu’on aurait pris cher ! C’est quand même le même refrain depuis des années ! » Avec un ton désabusé, il a mis en lumière un certain flou dans la répression des comportements inappropriés.
Les membres de l’association Stop Homophobie, quant à eux, ne sont pas restés silencieux. Un de leurs représentants a déclaré : « Nous sommes perplexes face à cette décision. Les chants en question sont inacceptables, et le fait qu’aucune sanction n’ait été prise en dit long sur la gestion de l’homophobie dans les stades. » Il a appelé à une mobilisation générale contre ces dérives.
Dans ce contexte, le discours des dirigeants de la LFP rajoute une touche d’humour involontaire : « Nous n’avons pas pu localiser précisément le bruit, peut-être que ça venait de derrière un arbre ! ». Des rires ont fusé, mais le malaise demeurait. Peut-on vraiment rester indifférent ?
OM : Pas de sanctions pour les chants homophobes
Dans un match aussi chargé d’émotions que le Classique entre l’OM et le PSG, la commission de discipline de la Ligue de Football Professionnel a décidé de ne pas sanctionner le club marseillais suite aux chants homophobes entendus lors de la rencontre. Malgré des accusations et des plaintes déposées par des associations contre l’homophobie, la commission a conclu qu’aucun rapport officiel ne prouvait l’existence de tels chants.
Il est intéressant de noter que la saisine du Conseil National de l’Éthique a été jugée imprécise. Cela a mené la commission à ne pas localiser les tribunes d’où provenaient ces cris de guerre, qualifiés pour certains d’extêmement furtifs. Preuve que le scrutin de la justice sportive peut parfois sembler flou…
En effet, avant le coup d’envoi, des supporters avaient chanté des phrases chocs tels que « Il faut tuer ces pé*** de Parisiens », ce qui a évidemment créé un tollé dans l’univers du football. Ces débordements ont amené des organisations comme Stop Homophobie à réagir en portant plainte auprès des autorités compétentes. Le contraste entre ces chants et l’absence de sanction officielle peut donner à réfléchir sur l’efficacité des mesures de prévention prises par la LFP.
Ce dénouement a suscité des réactions critiques, notamment de la part du Collectif Rouge Direct, qui a exprimé son indignation face à ce qu’ils considèrent comme une irresponsabilité de la LFP. Les débats sur l’homophobie dans les stades restent ouverts, et ce cas souligne encore une fois que la lutte contre la discrimination dans le sport est un long chemin qui nécessite vigilance et engagement de toutes les parties.